La production et la collecte françaises sont en recul, mais les exportations sont soutenues vers les pays tiers. Les livraisons intra-communautaires sont en retrait : les disponibilités sont moindres et la production de blé fourrager est abondante.
La production et la collecte françaises sont en recul, mais les exportations sont soutenues vers les pays tiers. Les livraisons intra-communautaires sont en retrait : les disponibilités sont moindres et la production de blé fourrager est abondante.
DEFISTIM est le nom du projet labellisé par le pôle de compétitivité Vegepolys à Angers (49), qui vient de recevoir le soutien financier de 1,3 million d’euros par le Fonds Unique Interministériel. Réunissant 12 partenaires dont 4 entreprises (Goëmar, Syngenta, Force A, In Vivo) et labellisé par 4 pôles compétitivité (Vegepolys, IAR, Qualimed et Valorial), ce programme de recherche a pour principe de stimuler, à titre préventif, les conditions d’une agression par des substances, qui elle-mêmes vont stimuler dans la plante les premières réactions de défense. Son objectif est de mieux évaluer ces Stimulateurs de Défenses Naturelles (SDN) et de mettre au point des marqueurs et des outils d’aide à la décision pour optimiser leur emploi par des professionnels.
Alternative intéressante au blé de part ses qualités nutritionnelles et ses vertus non allergisantes, la graine du quinoa n’était jusqu’à peu pas cultivée en France (principalement importée vers les filières de distribution bio). En Anjou, un jeune Américain originaire du Tennessee du nom de Jason Abott, en a décidé autrement.
Installé dans le Maine-et-Loire depuis 2004, il a travaillé en tant que technicien chez le semencier Vilmorin puis a décidé de créer en 2008 sa propre entreprise Abbottagra, spécialisée dans la culture du quinoa.
Petit retour en arrière : au milieu du XIXèS., après la destruction de leurs vignes par le phylloxera –puceron ravageur des vignes, des viticulteurs de St Lambert du Lattay décidèrent de se lancer dans la culture des plantes médicinales. Lorsque la production des vignobles fut de nouveau possible, la culture de ces plantes se déplaça plus au sud, à Chemillé. Depuis, cette ville du Maine-et-Loire est devenue la capitale emblématique des plantes médicinales et aromatiques, devenant même leader dans ce secteur. Elle organise actuellement un festival dédié à la connaissance de ces plantes et herbes.
Les semis de maïs sont en recul en France, alors que ceux de blé tendre progressent sensiblement
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